SOMMAIRE
- ALERTE aux algues bleues
- CYANObactéries
- ENTENTE Québec-Vermont
- IMPORTANCE de la baie
- INSTANCES gouvernementales
- JEÛNE de Robert Galbraith
- LAKE Champlain, USA
- ORGANISMES qui s'impliquent
- PONT-jetée Alburg-Swanton
- POURQUOI S.O.S. Baie Missisquoi
- POUR suivre le fil
- RECHERCHES et études
- VOS opinions
Cartes
- LAC Champlain >>
- LAKE Champlain Basin >>
- PONT-jetée Alburg-Swanton >>
- PORTRAIT environnemental du bassin versant de la baie >>
Photos
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- ALGUES bleues - Cyanobactéries >>
- EFFETS des cyanobactéries sur la santé humaine et l'environnement >>
- ENTENTE Québec-Vermont >>
- LAKE Champlain Basin Program >>
- POLITIQUE nationale de l'eau >>
- RÈGLEMENT sur les exploitations agricoles >>
- SYMPOSIUM du printemps 2002 (LCRC) >>
SITES
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Pratiques agroenvironnementales
Cyanobactéries :
Les causes sont connues, mais les solutions...
L'une des causes principales de cette prolifération de cyanobactéries (dans la baie Missisquoi) est la concentration excessive d'éléments nutritifs dans l'eau, dont l'azote et principalement le phosphore, qui s'y déposent suite à la migration des sols. (...) Les relevés ont démontré que la qualité de l'eau en provenance des milieux agricoles est mauvaise, dans cette région. Sur une base annuelle, le Ruisseau-aux-Castors transporte 1,95 tonnes de phosphore total, soit l'équivalent d'une perte de 1,5 kg à l'hectare. Les analyses de laboratoire ont aussi démontré que 70 % de ce phosphore est sous forme particulaire, c'est-à-dire reliée aux pertes de sol dans le cours d'eau. Autre découverte importante : cette perte se produit très majoritairement lors de quelques événements hydrologiques importants tels la fonte des neiges et les pluies abondantes qui surviennent durant la saison, et qui provoquent du ruissellement de surface. Conclusion : si on veut réaliser des gains dans la lutte à la pollution diffuse d'origine agricole, il faut impérativement garder le sol dans les champs. (...)
On observe en premier lieu que trop de producteurs agricoles cultivent encore trop près des talus, ne respectant pas la distance minimale destinée à servir de premier rempart contre les pertes de sol. Dans une première version du rapport du ministère de l'Environnement, rédigé suite aux visites des 550 fermes du bassin versant de la Rivière-aux-Brochets, on peut lire que "... suite aux déclarations des agriculteurs lors des visites ferme par ferme, nous devons constater que la majorité ne respectent pas la politique de protection des rives du littoral des plaines inondables en ce qui concerne le respect du 3 mètres de la ligne des hautes eaux (1 mètre du haut du talus)..." Or, un mètre du haut du talus, c'est un strict minimum et il existe de nombreux intervenants qui croient que c'est trop peu. Le non-respect de cette directive amplifie le problème et donne des munitions à ceux qui préconisent la manière forte, la réglementation et l'approche coercitive.
« Pollution par le phosphore : Facteur source ou facteur transport », par Richard Lauzier, agronome, dans Producteur Plus, décembre 2004
Protection d'un autre habitat naturel
Le ministre de l'Environnement, M. Thomas J. Mulcair, et le député d'Iberville, M. Jean Rioux, annoncent l'octroi d'une aide financière à Conservation de la nature (Québec) pour la protection d'espaces naturels dans la tourbière de Clarenceville, un milieu humide situé à proximité du lac Champlain.
Texte du communiqué
Texte du communiqué
Page créée le 10 août 2003,
par Jean Trudeau.
Dernière mise à jour :
mars 2005
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